3 doses pour guérir du perfectionnisme

Aujourd’hui, je vais vous guérir du perfectionnisme, une maladie qui peut parfois tuer plus que le COVID ! Alors, attachez vos ceintures, je vous donne trois doses pour vous soigner, avec un petit booster en prime.

Première dose : Trouver la peur sous-jacente
Le perfectionnisme, c’est souvent lié à une peur cachée. De quoi as-tu peur si tu n’es pas parfait ? L’échec ? La critique ? Le jugement des autres ? Au fond, c’est la peur du rejet, de se faire juger par les autres ou même par soi-même. Il faut dégommer cette peur, lui dire bye-bye. Accepte que tu n’as pas besoin d’être parfait pour avancer.

Deuxième dose : Développer la capacité d’adaptation
Être imparfait, c’est accepter de faire des erreurs. Et qui dit erreurs dit besoin de s’adapter. Quand tu fais face à des retours négatifs, à des échecs, il faut t’ajuster. La vie, c’est comme naviguer sur une mer capricieuse : il faut savoir ajuster les voiles. Si tu n’as pas cette capacité d’adaptation, tu resteras bloqué par la peur de l’échec. Développe ta résilience et avance, même si ce n’est pas parfait.

Troisième dose : Couper le superflu
Le perfectionnisme te pousse à vouloir atteindre 100 %, mais il faut accepter que 80 % est souvent suffisant. Il y a toujours ces petits 20 % qui te font râler parce que ce n’est pas parfait. Mais en vrai, ils n’ont pas tant de valeur que ça. La loi de Pareto, c’est 80/20 : si tes 80 % sont bons, ton objectif est déjà rempli. Ne te perds pas à fignoler des détails qui n’apportent pas grand-chose. Concentre-toi sur l’essentiel, c’est ça qui fera la différence.

Le Booster : Se sentir bien avec ce qu’on fait
Peu importe si ton projet est à 100 % ou pas, il faut être fier de ce que tu fais. Même si ce n’est pas parfait, il faut l’accepter et s’en sentir bien. Ce qui compte, c’est que tu sois en paix avec ce que tu crées. Cette confiance te donnera la force de continuer et de t’améliorer. Il faut apprendre à aimer même ce qui n’est pas parfait.