Ça va mal finir (spoiler)

Tout le monde sait comment ça va finir. On pourrait dire que c’est un spoiler, mais franchement, si tu regardes l’histoire, si tu observes le passé et le présent, c’est pas bien compliqué de se projeter dans l’avenir. Rien n’est jamais linéaire, évidemment, mais on a quand même une petite idée. Et je pense que les gens pas trop cons savent comment ça va évoluer, et surtout comment ça va se terminer.

Aujourd’hui, on a des robots qui fabriquent d’autres robots. Ils finiront même par recycler leur propre merde et les réutiliser. On parle souvent de robots, mais tout ça c’est déjà là depuis longtemps : des machines qui, depuis l’industrialisation, aident à accomplir les tâches les plus pénibles. Et aujourd’hui, ça continue : on crée toujours des robots pour améliorer la productivité et, d’une certaine manière, la vie humaine. Une voiture, par exemple, c’est un robot. C’est juste une machine un peu plus complexe.

Et puis, il y a l’intelligence artificielle (IA). Elle s’est développée à toute vitesse ces dernières années. Si les robots étaient « bêtes et méchants », l’IA, elle, commence à avoir du mental. ChatGPT et compagnie, ça amuse au début, ça raconte des blagues, mais là où ça devient sérieux, c’est quand on couple tout ça. Quand on mélange le physique, donc les robots, avec l’intelligence de l’IA. On sait tous ce que ça donne : des révolutions, mais aussi des dangers énormes.

Et puis de l’autre côté, il y a l’humain augmenté. On pourrait dire que c’est l’équilibre. Parce que l’humain, s’il reste juste un humain, ne pourra pas rivaliser avec ces robots. D’un côté, ça va nous libérer de tâches pénibles, mais de l’autre, ça risque aussi de faire en sorte que les robots prennent le pouvoir. Alors, pour rester dans la course, l’humain va devoir s’augmenter aussi. Neuralink, les puces, les implants… on y arrive.

Le robot, c’est facile : on part de zéro, on le construit de A à Z, et il évolue. Mais l’humain, c’est plus compliqué. On a déjà un corps, un système en place, avec ses contraintes, ses limites. Et l’humain, ça change constamment : les cellules meurent, renaissent, bref, c’est un processus organique, bien plus complexe qu’une machine.

Et là, on entre dans un truc encore plus dingue : le robot augmenté. Parce que le robot, à un moment, va devoir lui aussi évoluer, se régénérer, un peu comme les cellules humaines. Peut-être qu’il utilisera des processus chimiques pour se réparer, se recycler. On va vers un mélange entre la biologie et la technologie. Et l’humain va s’orienter de plus en plus vers la robotisation, avec des intégrations technologiques qui feront de lui une sorte de cyborg.

Le problème, c’est que l’humain va avoir du mal à suivre. Les robots risquent de prendre le dessus à un moment donné. Et là, il ne restera plus qu’à s’adapter. Beaucoup ont peur de cette évolution. On voit déjà des chiens robots armés, et ça fait flipper. Mais on ne peut pas y échapper. C’est pareil avec les artistes qui veulent interdire l’IA, parce qu’ils crient au plagiat. C’est de l’illusion. Tout ça les force à affronter leur propre contradiction en tant que créateurs. Il faut accepter, et surtout, se préparer.

Se préparer, ça veut dire augmenter sa propre productivité, optimiser son temps, choisir les tâches à forte valeur ajoutée. Et puis, il ne faut pas oublier de cultiver son côté humain : l’empathie, l’intuition, l’inspiration. Parce que même si l’IA évolue à une vitesse incroyable, il nous reste quelque chose d’unique : notre intelligence émotionnelle, notre capacité à ressentir, à vibrer. Il faut cultiver ça. La résilience aussi, savoir s’adapter aux obstacles, gérer le stress.

On sait tous comment ça va finir. Le problème, c’est pas de le savoir, mais de savoir comment on va réagir, comment on va s’adapter, comment on va se préparer.

Scroll to Top