Le choix de ne pas en faire ou la fin de la dualité: exemple de la mode en Asie.

L’asiatique est pragmatique. Il n’est pas un grand créateur mais un excellent copieur cela semble évident. Comme il est pragmatique, il préfère souvent l’utile au beau. Ainsi il sera capable de détruire pour construire quelque chose de plus moderne et plus pratique. Alors qu’en Europe on préfère garder un vieux bâtiment mal isolé (thermique et phonique) sans ascenseur, plutôt que de défigurer le “paysage” urbain. L’asiatique, détruit, et utilise l’existant pour l’améliorer. Cela donne des choses extraordinairement pratiques.

La mode imposée est plus ou moins la même dans le monde entier, mais il est aussi vrai que les peuples ont des préférences et spécificités qui les font choisir des styles vestimentaires propres. L’asiatique aime le joli, mais ne le laissera pas forcément l’emporter sur le pratique.

Le refus du choix qu’on nous impose est une porte vers le progrès. Aujourd’hui vous hésitez à porter une jupe courte ou longue? Choisissez les deux:

Vous hésitez entre le jeans et le motif jaune? Choisissez les deux!

Le beurre et l’argent du beurre, ou quand choisir vous fait chier:

Il faut que le peuple rééquilibre et crée ce qu’il désire, sinon il se fera imposer des produits à l’obsolescence programmée et des ronds-points avec de l’art contemporain de merde payé par ses impôts. La mode est néanmoins intrinsèquement déjà obsolète avant même qu’elle n’apparaisse. Elle est bien souvent le recyclage de la génération passée (le temps que les gens oublient que c’était ringard et le temps que les jeunes filles aient les seins qui tombent).

Ce refus du choix, est bien évidemment un refus de la frustration inhérente à notre réalité physique. La limite de l’espace temps qui nous est imposée nous force à faire des choix dans cette réalité. C’est frustrant, mais c’est une des caractéristiques de la réalité extérieure.

Le vrai choix est celui qui ne nous est pas imposé, mais celui qu’on fait par nous-même, en écoutant notre intuition. Car l’extérieur voudra toujours nous forcer à choisir un extrême. Nous voyons alors que le moine abstinent et la baise quotidienne sont en fait pris dans le même piège. Et que la fidélité et votre côté queutard peuvent bien cohabiter. Le meilleur choix ne nous vient surement pas de l’extérieur, mais d’une composition personnelle qui se heurtera à bien des peurs de votre entourage, mais qui sera le meilleur choix, maintenant, pour vous.

Acceptons le choix multiple, le choix de l’impossible et du magique.

Sortons du choix binaire et des syllogisme qui se mordent la queue. Exemple: il me trompe donc il ne m’aime pas. Je le quitte ou il la quitte. Manger du riz ou des pâtes…. Car vous pouvez très bien ne pas manger du tout ou manger des pâtes de riz. Sans les finir d’ailleurs…

Reprenez le contrôle!
La vie est une arnaque, ne vous faîtes pas avoir.

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