Réflexion sur la survie face à l’intelligence artificielle.
La guerre contre les machines, l’humain contre les machines.
On va tous faire face à l’intelligence artificielle, et moi, mon plan, c’est d’avoir un Neuralink gratuit. Alors, qu’est-ce que c’est, ce Neuralink ? C’est une interface cerveau-ordinateur développée par Elon Musk. Cette idée d’augmenter l’humain a toujours été dans l’air du temps, chez les chercheurs et les ingénieurs. Maintenant, avec les moyens qu’il a, Musk met tout cela en place, et c’est assez effrayant.
On se demande vraiment si on cherche à augmenter l’humain, à le pousser à réfléchir à son potentiel maximum, voire au-delà. Imaginez quand on connecte notre cerveau à Internet avec des lentilles qui nous donnent des informations en temps réel. Ces lentilles pourraient même transformer notre perception des choses, comme faire croire qu’une orange est une pomme. C’est un peu comme ce qu’on voit avec les deep fakes aujourd’hui.

Le Neuralink, c’est l’exécution à la vitesse de la pensée. Au lieu de taper sur un clavier, on pourrait directement penser à ce qu’on veut faire. Bien sûr, on ne pourra jamais atteindre une vitesse aussi rapide que celle de la pensée, mais l’idée est d’éliminer les délais entre l’humain et la machine. Imaginez, plus besoin de préparer quoi que ce soit, on serait connecté en permanence !
L’important, c’est de réfléchir à comment on va s’augmenter. On doit survivre dans ce monde, et ça passe par une réduction des frictions entre l’homme et la machine. Quand je travaille sur mon ordi, je perds du temps à cliquer, enregistrer, brancher le micro, mettre en place le logiciel, etc. Avec Neuralink, ce temps serait considérablement réduit.
Mais attention, il faut être conscient de l’importance de sélectionner les tâches essentielles pour notre développement, que ce soit au niveau professionnel ou personnel. Les tâches prioritaires sont celles qui augmentent notre fréquence, notre vibration. C’est ce qui nous différencie des machines pour l’instant.
Alors, peut-on aller au-delà ? Je pense que oui. Neuralink pourrait avoir des limites, mais je ne pense pas que ce soit une barrière infranchissable. On évolue, notre corps évolue, même s’il semble figé dans le temps. Chaque seconde, nos cellules meurent et se renouvellent, mais physiquement, on n’évolue pas beaucoup en tant qu’adulte. Peut-être qu’un jour, avec des mutations génétiques, on y arrivera, mais pour l’instant, on fait avec ce qu’on a.
Il ne s’agit pas d’abandonner, mais de faire la compétition de manière raisonnée. On ne peut pas devenir plus fort, mais on peut s’inspirer de ces machines. Et parfois, faire moins, c’est en fait faire plus. On en reparlera peut-être dans une autre vidéo, mais pour moi, Neuralink est une source d’inspiration pour réduire la distance entre l’homme et la machine.
On doit toujours garder en tête cette idée de passage de l’idée à la réalisation. Que ce soit pour la création, l’écriture ou autre chose, on a besoin de repères. Neuralink, c’est une borne, un marqueur qui nous aide à nous canaliser dans notre parcours, à savoir où on va et à reconnaître nos limites.