Upgrader le QI de son OS d’humain

Aujourd’hui, je vais parler de QI et de QE, et comment on peut upgrader son OS. Je suis tombé sur une carte très intéressante que je vais vous montrer. Cette carte montre en fait les différences de QI entre les pays. En rouge, on a les pays avec les QI les plus bas et en bleu foncé ou violet, ceux avec les QI les plus élevés. Alors, qu’est-ce qu’on en pense ? Cette carte risque de surprendre, voire d’énerver certains d’entre vous. On peut se demander pourquoi, et la réponse est simple : parce qu’on refuse souvent d’être différents les uns des autres.

On remarque que les zones autour de l’équateur semblent partager une constante. Est-ce que c’est le soleil qui influence cela ? Je n’en sais rien. En tout cas, on a tendance à se gargariser avec ce QI, car c’est typiquement ce que la société actuelle valorise. On se focalise sur la quantité, l’école nous pousse à mémoriser un maximum d’informations, et au final, on devient un peu comme des super ordinateurs. Pourtant, avoir un QI élevé n’est pas sans inconvénients, et un QI bas n’a pas que des désavantages.

Voyons les deux aspects : le QI et le QE, ce qui fait souvent débat.

Il faut se rappeler que l’idéal est d’atteindre un équilibre entre ces deux dimensions. Un haut QI ne garantit pas forcément une bonne connexion avec ses émotions, ce qui est essentiel pour naviguer dans la vie. En général, on observe que les personnes asiatiques sont souvent très mentales, parfois au point d’avoir peur des autres, de l’inconnu. À l’inverse, on retrouve en Afrique des personnes qui semblent plus ancrées, connectées à leur corps.

Prenons l’exemple du Covid : les Asiatiques, habitués à porter des masques par prudence, ont été très prudents. En Europe, c’était un peu la même chose, mais dans les banlieues où la population est plus diversifiée, certains s’en moquaient et vivaient comme si de rien n’était. Cela illustre bien les différences culturelles qui existent.

Ce n’est pas une attaque, mais plutôt un constat pour que l’on puisse apprendre les uns des autres. Un excès de QI peut entraîner plus de peur, car on est trop dans le mental, alors qu’un faible QI peut rendre difficile la projection dans l’avenir. C’est un peu un cercle vicieux : plus on est dans le mental, plus on se préoccupe des résultats, et moins on profite du moment présent.

En Afrique, les gens sont souvent plus détendus, ce qui les rend peut-être moins enclins à l’économie et à la planification. Ils sont très présents dans le moment, ce qui est une force pour tout ce qui touche au sport et à la créativité physique. Cela se reflète aussi dans le physique des gens, souvent plus musclés et développés.

Notre objectif doit être d’atteindre cet équilibre, cette cible où l’on combine à la fois un bon QI et un bon QE. Il est essentiel de prendre conscience de ces extrêmes, car dans la réalité, les gens ne sont jamais à 100 % d’un côté ou de l’autre. On a tous une part de QI et de QE en nous, et c’est cette diversité qui fait notre richesse.

Finalement, l’idée est de s’inspirer les uns des autres plutôt que de se juger. Chacun a ses forces et ses faiblesses, tout comme dans un jeu vidéo où chaque personnage a ses propres caractéristiques. Il est crucial de comprendre nos limites et d’apprendre à travailler avec nos talents. Cela nous permet de mieux juger les situations et de sélectionner les tâches à accomplir.